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Chute de cheveux, alopécie, calvitie, quelles différences ?

Calvitie précoce ou avancée, alopécie, chute de cheveux : les termes ne manquent pas pour évoquer un phénomène qui touche indistinctement les hommes et les femmes, et cela, quel que soit leur âge. Voir ses cheveux tomber peut être assez traumatisant et être source d’angoisse et de mal-être. Mais savez-vous réellement pourquoi nous perdons nos cheveux ? De quelles méthodes disposons-nous aujourd’hui pour y mettre fin ?

Qu’est-ce que l’alopécie ?

La perte importante de cheveux (ou alopécie) est un sujet sensible, voire même tabou dans certains cas tant il est mal accepté. Il est souvent source d’angoisse et peut provoquer un manque de confiance en soi ou, dans des situations extrêmes, conduire à un isolement social.

Les cheveux, c’est avant tout un atout de séduction pour les deux sexes. Chez les femmes, cela représente la féminité et l’attractivité. Pour les hommes, il reflète une image de jeunesse et de beauté. Il est donc tout à fait normal d’être anxieux quand la chute de cheveux s’accélère et commence à dégarnir votre capital capillaire.

Mais de quoi est composé un cheveu au juste ? Cet élément central de notre pilosité est essentiellement constitué de kératine. Il est formé de deux parties : le follicule pileux (racine) qui donne naissance au cheveu, et la fibre capillaire qui est la partie visible du cheveu. En moyenne, chaque personne possède entre 100.000 et 150.000 cheveux sur la tête.

Il faut savoir qu’un cheveu vit en moyenne 5 ans chez la femme et 4 ans chez l’homme. En temps normal, nous perdons entre 50 à 100 cheveux par jour lors du processus de renouvellement naturel. Or, dans certains cas, ce chiffre augmente sensiblement pour dépasser les 150 chutes de cheveux par jour. On parle alors d’alopécie (à ne pas confondre avec calvitie – devenir chauve - qui est la résultante d’une perte importante de cheveux et qui se manifeste par un dégarnissage progressif de notre densité capillaire laissant entrevoir le cuir chevelu).

Pour bien comprendre comment l’alopécie fonctionne, il est important de décortiquer le cycle de vie normal d’un cheveu. En effet, celui-ci peut être décomposé en 4 phases majeures :

  • L’anagène : longue période de croissance du cheveu.
  • Catagène : période courte durant laquelle le cheveu arrive à maturité, n’est plus nourri et commence à dépérir.
  • Télogène : période de repos où le cheveu entre dans la phase d’affaiblissement.
  • Exogène : fin de vie du cheveu caractérisée par sa chute.

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Or dans le cas d’une alopécie, le cycle de vie normal du cheveu s’accélère et se retrouve complètement perturbé. En effet, le durée de vie de ce dernier devient plus courte et atteint la phase Télogène plus rapidement (effluve télogène), ce qui ne laisse pas le temps à la relève d’entamer une nouvelle phase anagène correctement. Cela conduit à la repousse d’un cheveu plus fin et fragile avec une durée de vie plus courte. La qualité de notre chevelure baisse alors progressivement et nos fibres capillaires tendent à disparaître. Les follicules pileux dépérissent et les cheveux ne repoussent plus.

L’alopécie peut se manifester sous plusieurs formes :

  • L’alopécie androgénétique héréditaire : elle touche en majorité les hommes et est la plus fréquente (70% des cas). Cette forme d’alopécie est due à un facteur génétique.
  • L’alopécie aiguë : liée à des facteurs externes tels que des carences alimentaires, le stress, ou des traitements par chimiothérapie.
  • L’alopécie localisée : elle est souvent la conséquence de problèmes liés à la peau ou à la présence de parasites dans l’organisme.
  • L’alopécie congénitale : un cas plus rare. Elle est causée par l’absence de racines capillaires ou de problèmes lors de leur constitution.
  • L’alopécie areata : C’est un type de calvitie qui n’atteint pas uniquement le crâne, mais l’ensemble du corps sur plusieurs zones.

La majorité des cas d’alopécie chez les hommes se manifeste sous forme d’alopécie dite androgénique. Elle est héréditaire et est caractérisée par un trouble hormonal lié à l’âge se traduisant par une augmentation de la DHT (Androstanolone, un stéroïde hormonal androgène). Cette dernière est considérée comme la principale responsable de la perte de cheveux et y joue un rôle déterminant.

Chez les femmes, l’alopécie la plus courante est causée par un dysfonctionnement hormonal. Il s’agit de l’alopécie post-ménopausique et survient après la ménopause. La femme perd alors sa chevelure de manière plus diffuse que chez l’homme, mais surtout, la chute est irréversible. C’est la raison pour laquelle il est primordial de commencer un traitement le plus tôt possible avant qu’il ne soit trop tard.

Quelle différence y’a-t-il entre calvitie, alopécie et chute de cheveux ?

Beaucoup de personnes ont tendance à confondre 3 phénomènes capillaires assez proches : la chute de cheveux, l’alopécie et la calvitie. Si le premier est un processus tout à fait normal, les 2 autres résultent d’un dysfonctionnement du cycle de vie du cheveu et provoquent une perte irréversible du capital capillaire.

État normal État anormal Résultat
Dénomination Chute de cheveux Alopécie (chute importante) Calvitie
Nb de cheveux perdus par jour Entre 40 et 100 + de 100 -
Âge moyen de l’apparition Avant 30 ans Entre 25 et 45 ans Après 45 ans
Pourcentage des hommes atteints ?* 100% 40% >50%
Pourcentage des femmes atteintes ?* 100% 20% - 30% >16%**

*L’alopécie diffère d’une personne à une autre et d’un groupe ethnique à un autre. Les personnes originaires des pays du Sud-est asiatique sont moins sujettes à l’alopécie comparativement aux Caucasiens par exemple.
** Chez les femmes, les zones clairsemées les plus communes sont généralement de stade 1 et 2. Une calvitie de stade 3 semblable à celle des hommes avec une perte totale des cheveux sur le vertex et la zone frontale est assez rare (voir le schéma des différents stades dans le chapitre calvitie ci-dessous).

Chute de cheveux

La chute de cheveux est un phénomène normal qui touche chaque être humain depuis sa naissance. Le cycle de vie d’un cheveu dure en moyenne entre 2 et 5 ans et se décompose en 3 phases comme expliqué plus haut : la phase anagène durant laquelle le cheveu croît, la phase catagène (3 semaines) qui est une phase de transition où le cheveu cesse de pousser, et enfin la phase télogène, où le cheveu mort reste en suspens jusqu’à ce qu’il tombe et cède sa place à une nouvelle fibre capillaire. Dans de rares cas, certaines personnes peuvent perdre périodiquement jusqu’à 170 sans que l’on parle pour autant d’alopécie. Ce phénomène est visible principalement chez des sujets sensibles aux bouleversements environnementaux ou aux changements saisonniers par exemple (en automne et au printemps notamment).

Alopécie

L’alopécie, c’est la forme chronique d’une chute de cheveux. L’étymologie du mot alopécie provient du mot grec ancien "alopecia", signifiant "chute de cheveux". Pour éviter toute confusion, la description correcte de l’alopécie devrait plutôt être une "chute importante de cheveux". Ce phénomène capillaire anormal résulte, comme on l’a vu plus haut, d’un dysfonctionnement dans le cycle de vie du cheveu, avec une anomalie dans sa phase anagène qui se retrouve raccourcie, ne laissant pas assez de temps à la repousse de croître convenablement. Les nouveaux cheveux deviennent ainsi de plus en plus fins et faibles, jusqu’à ce qu’ils tombent de manière définitive et ne se renouvellent plus.

Calvitie

La calvitie est le stade ultime de l’alopécie. Elle se traduit par l’apparition d’une zone capillaire partiellement ou complètement dégarnie, où on peut percevoir aisément le cuir chevelu. La calvitie se manifeste le plus souvent à partir de l’âge de 40 ans chez les hommes, surtout au niveau du vertex, des tempes et de la zone frontale. Pour différencier les différents stades de calvitie, il existe de nombreuses normes de classifications qui permettent de distinguer le degré de dégarnissement capillaire, le stade 1 représentant souvent une calvitie encore précoce (voir schéma ci-dessous).

Pourquoi perd-on nos cheveux ?

Malheureusement on n’est pas tous égaux face au phénomène de chute de cheveux. Certaines personnes peuvent connaître une alopécie dès la vingtaine quand d’autres gardent toute leur chevelure intacte bien au-delà de la cinquantaine. Cette "injustice" capillaire est en grande partie due à la loterie génétique. En effet, l’hérédité et la prédisposition de nos gênes à la chute de cheveux expliquent en grande partie cette disparité entre individus. De façon générale, les facteurs déclencheurs ou aggravants d’une alopécie sont les suivants :

  • L’âge et le vieillissement (processus physiologique naturel)
  • Des facteurs génétiques ou héréditaires (antécédents familiaux)
  • Des facteurs hormonaux (notamment au moment de la ménopause, en cas de dysfonctionnement dans la production des hormones thyroïdiennes ou durant l’augmentation de l’hormone masculine DHT)
  • Des agressions extérieures ou mécaniques (pollution, soleil, UV et radicaux libres, tresses, permanente, décoloration, produits décapants, fers à friser et brossages excessifs, peuvent notamment fragiliser et favoriser l’alopécie)
  • Les changements saisonniers (la chute de cheveux est souvent plus importante au printemps et en automne, une chute saisonnière liée à notre horloge physiologique) Un stress important, un choc affectif ou émotionnel.
  • Les troubles de l’alimentation provoquant des carences en vitamine, protéines et acides aminés (en particulier les carences en vitamine B, l’anémie en fer et un excès de cholestérol et de triglycérides dans l’organisme)
  • Le tabagisme (le tabac est toxique et est connu pour favoriser la repousse de cheveux blancs et fragiles. À moyen terme, le tabac accélère la mort des follicules pileux, provoquant ainsi une chute plus importante des cheveux).
  • Certains traitements et médicaments (traitement anti-cholestérol, œstro-progestatif, médicaments anticoagulants, anti-inflammatoires, chimiothérapie contre le cancer, etc.)
  • Certains troubles et maladies : maladie infectieuse, diabète, hypertension artérielle, trichotillomanie (arrachage des cheveux et poils), pelade, troubles thyroïdiens (hypo ou hyperthyroïdie), cancer et chimiothérapie associée, etc.

Une chute importante et inhabituelle des cheveux peut être liée à des causes bénignes (âge, hérédité), ou au contraire révéler un dysfonctionnement plus important (carences, troubles hormonaux, etc.). Il est conseillé de consulter un médecin généraliste ou un dermatologue en cas de doutes afin d’identifier la cause de la perte de cheveux et y remédier au plus tôt avant que les dégâts (calvitie) ne soient irréversibles.

Le stress, un facteur largement sous-estimé

Le stress est responsable de la chute de cheveux, voilà une assertion qui n’a pu être prouvée scientifiquement de manière irréfutable. Cependant, certaines études renforcées par des observations empiriques tendent à corroborer ce lien.

De manière générale, on considère que la combinaison stress, hormones et gènes peut constituer un trio potentiellement néfaste. On sait que l’hormone masculine DHT (dihydrotestostérone) est grandement responsable de l’alopécie androgénétique chez les hommes. Ce que l’on sait moins, c’est que sa combinaison avec le stress démultiplie ses effets néfastes en accélérant la chute de cheveux à un âge précoce. Ainsi, si par exemple on considère une personne lambda comme prédisposée génétiquement à perdre ses cheveux à partir de la quarantaine, si cette même personne subit un stress intense de façon continue, elle aura alors de fortes chances de voir son alopécie commencer dès la trentaine, et ce de manière assez brutale. Elle se retrouvera dès lors avec une calvitie avant même d’avoir atteint la quarantaine.

Comment cela est-il possible ? Et bien le stress joue un rôle pernicieux au niveau vasculaire en général, et à l’échelle de la microcirculation sanguine en particulier. Ainsi, les follicules pileux de notre cuir chevelu, bien moins irrigués que d’habitude, sont moins hydratés, oxygénés et nourris. S’en suit une repousse de cheveux fins et fragiles qui voient leur cycle de vie raccourcir progressivement jusqu’à leur chute définitive.

Cela dit, il convient de noter qu’il existe plusieurs types de stress qu’on peut classer en 2 catégories.

Le stress du quotidien

Retard au travail, peur de rater le prochain métro, embouteillage, nuisances sonores du milieu urbain, etc... La liste de stress routinier que nous subissons tous d’une façon ou d’une autre au quotidien est longue. Cependant, nous ne sommes pas tous égaux face à la manière dont notre corps réagit face à ce genre de stress. Certains s’y accommodent très bien et le tolèrent, d’autres au contraire ont besoin de périodiquement décrocher pour ne pas subir le ‘burn out’. Dans les deux cas, l’effet sur la chute de cheveux est minime, avec un léger désavantage pour les personnes prédisposées génétiquement à l’alopécie androgénétique.

Le stress chronique

On parle ici du stress qui vous empêche généralement de dormir ou de vous alimenter normalement. Cela peut être lié à la perte d’un être cher, un accident ou de tout autre traumatisme émotionnel qui vous affecte profondément. Ce type de stress peut provoquer une chute rapide et massive des cheveux. Heureusement, ce phénomène est réversible et peut être soigné à condition d’utiliser les bons produits qui vous aideront à avoir une chevelure saine et forte. En effet, la repousse après une alopécie favorisée par le stress a tendance à être plus fine et fragile que la chevelure originale, raison pour laquelle on note chez certaines personnes, notamment les femmes, l’apparition de zones dégarnies qui deviennent permanentes faute de soins.

Conseils pour prévenir une chute prématurée des cheveux ?

Même si la principale cause de l’alopécie est d’origine héréditaire (hormonale), certains facteurs ont été identifiés comme pouvant être aggravants. Parmi les plus incriminés, on retrouve :

  • le port permanent de chapeaux ou de casquettes qui empêchent le cuir chevelu de s’oxygéner convenablement et asphyxient les follicules pileux
  • les shampoings corrosifs qui agressent le cuir chevelu et dérèglent son cycle pilaire certaines colorations contenant des ingrédients nocifs qui attaquent les racines et fragilisent la repousse
  • ou encore l’alopécie de traction, phénomène connu surtout chez les personnes qui tressent ou tissent les cheveux de façon trop serrée.

En outre, certaines précautions peuvent être prises pour retarder l’avènement de l’alopécie. On recommande notamment d’adopter une hygiène de vie saine avec la pratique régulière d’exercices physiques et une alimentation variée et équilibrée. Cela facilite l’apport aux racines des cheveux de nutriments qualitatifs et améliore la circulation sanguine sous-cutanée, ce qui aide grandement à une meilleure régénérescence cellulaire et favorise une bonne oxygénation de l’ensemble de l’écosystème capillaire.

Quelles sont les différentes solutions pour stopper la chute de cheveux ?

Nous vivons aujourd’hui à une époque où une perte importante de cheveux n’est plus considérée comme une fatalité. Nous savons comment prévenir une alopécie et disposons de produits efficaces et de moyens sûrs pour freiner son apparition avant qu’il ne soit trop tard.

Lors d’une chute de cheveux, les premières zones à se dégarnir chez l’homme sont les tempes (golfes), la partie frontale et le vertex (couronne). Chez les femmes, les zones dégarnies sont plus diffuses et ne se limitent pas à une région particulière.

Les solutions anti-chute pour appréhender et contrer la perte de cheveux peuvent être externes ou internes.

Solutions externes

Topiques

Il existe des sprays, des lotions, des sérums et des mousses à appliquer directement sur le cuir chevelu pour réguler le cycle de vie du cheveu. Ces soins topiques agissent dès la racine : ils stimulent la circulation sanguine pour aider le follicule pileux à passer d’une phase de repos à une phase de croissance, limitant ainsi la chute des cheveux et stimulant la repousse. Le rendement est optimal lorsque ces solutions sont accompagnées de shampoings anti-chute dédiés.

Les applications topiques externes les plus efficaces actuellement sont basées principalement sur 2 composants majeurs : le minoxidil et le trioxidil. Les 2 agissent de manière très ciblée et donnent des résultats spectaculaires qui expliquent leur succès à l’échelle mondiale.

Lire aussi notre article sur "Trioxidil : tout savoir sur cette molécule miracle"

Technologie laser

Il existe également des traitements qui agissent sur les cheveux de manière mécanique, soit en apportant au cuir chevelu une énergie stimulante (ex : lumière pulsée, laser), soit sous forme d’intervention chirurgicale (greffe capillaire).

Dans le premier cas basé sur la luminothérapie, il existe des appareils laser innovants qui stimulent la microcirculation sanguine au niveau capillaire et renforcent les follicules pileux par biostimulation. L’utilisation de la technologie laser comme traitement contre l’alopécie est assez récente et a permis d’avoir des résultats très concluants. Elle favorise en effet une repousse saine, dense et épaisse et redonne à votre chevelure un aspect revigoré et luxuriant. De plus, c’est une option considérée comme confortable dans la mesure où elle peut être utilisée à n’importe quel endroit, y compris à domicile.

Pour en savoir plus, lire notre article sur "La technologie laser, une solution contre la chute des cheveux ?"

Micro-greffes

Les micro-greffes de cheveux offrent également une alternative pour remédier à la calvitie en replantant de nouveaux greffons capillaires dans les zones dégarnies. L’intervention en elle-même consiste à prélever des cheveux d’une zone dense rarement affectée par l’alopécie comme la zone occipitale ou temporale. Les cheveux de ces zones-là sont en effet insensibles à l’action de la testostérone ou de la DHT et subissent donc rarement des chutes.

Bien qu’elle donne des résultats assez satisfaisants, cette solution comporte néanmoins quelques inconvénients. Premièrement, il faut que le patient ait suffisamment de cheveux à fournir dans la zone donneuse (les calvities trop importantes ont un stock insuffisant pour combler toute la zone dégarnie). De plus, la micro-greffe est une technique qui repose beaucoup sur la compétence du médecin et sa dextérité. En effet, le cheveu doit être implanté en respectant certains critères de positionnement comme l’angle ou la direction pour éviter le risque d’avoir une repousse désordonnée et anarchique qui va dans tous les sens. Enfin, il est à noter que l’implantation de microgreffons peut laisser des cicatrices qui restent visibles dans le temps. C’est le cas notamment sur la racine des cheveux frontaux où on peut clairement apercevoir les traces laissées par les greffes sous forme de petits points plus foncés facilement discernables. Des cicatrices peuvent apparaître également dans la zone donneuse (occipitale) même si celles-ci sont moins visibles grâce au camouflage capillaire.

Notons aussi l’existence de poudres de fibres de kératine qui densifient le volume capillaire dans les zones dégarnies. Cette dernière solution , temporaire certes, est incroyablement astucieuse, puisqu’elle permet de maintenir une chevelure dense en attendant que de nouvelles repousses plus fortes voient le jour.

Dans la catégorie des solutions externes, il existe également des rouleaux à aiguilles qui permettent de stimuler le cuir chevelu afin que les cheveux fins ne soient pas condamnés à une chute inéluctable. En effet, les aiguilles au diamètre parfaitement étudié permettent aux racines (follicules pileux) de puiser leurs nutriments plus facilement afin de renforcer la fibre capillaire et d’obtenir une chevelure plus forte et vigoureuse.

Solutions internes : les compléments alimentaires

Lorsque nous parlons de traitement interne, il est plutôt question de compléments alimentaires. En effet, il existe des compléments diététiques qui stoppent la chute des cheveux en stimulant la repousse au niveau moléculaire. Ces traitements 100 % naturels apportent tous les nutriments dont votre corps a besoin pour donner un véritable coup de boost à la repousse capillaire. Votre chevelure est alors nourrie en profondeur et revigorée. Vos cheveux retrouvent ainsi leur souplesse et leur éclat de manière tout à fait naturelle. Les spécialistes recommandent d’ailleurs de privilégier les solutions naturelles, car c’est celles qui respectent le mieux l’équilibre physiologique de l’écosystème capillaire.

Pour en savoir plus, lire notre article sur "Les compliments alimentaires contre la perte de cheveux"

Durée de traitement

Nous remarquons de façon générale qu’à la suite de l’application de topiques anti-chutes de qualité, les premiers résultats sont généralement visibles au bout de 1 à 3 mois selon les individus, sachant qu’un cheveu croît en moyenne d’environ un centimètre par mois. Pour optimiser l’efficacité des traitements anti-chute et accélérer le processus de recouvrement capillaire, l’idéal serait de combiner plusieurs solutions qui soient complémentaires. Rien n’empêche par exemple d’utiliser un shampoing anti-chute parallèlement à un casque laser, ou bien d’avoir recours à un complément alimentaire en même temps qu’un rouleau à aiguille qui stimulera le cuir chevelu et permettra aux nutriments du complément en question d’être mieux absorbés par l’ensemble de l’éco-système capillaire.

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